Les plantes du mur et de la rocaille

Certaines plantes, capables de pousser dans un minimum de terre, tirent parti de cet atout pour se fixer dans les fissures des murs, où elles sont à l’abri d’espèces concurrentes plus volumineuses. C’est notamment le cas, selon l’exposition, des diverses espèces de sedum, mousses et lichens, nombrils de Vénus (umbilicus rupestris), etc... que l’on croise sur les murs abandonnés de nos garrigues.

D’autres plantes profitent des avantages qu’offre le mur en matière de drainage et de chaleur (en particulier lorsqu’il est orienté au Sud) pour le coloniser, soit par le haut (espèces retombantes), soit par le bas (espèces grimpantes) ...